Note générale ♥♥♥♥♥/5
Mon avis:
Je suis une fan de la première heure, je n’ai donc pas du tout lu le quatrième de couverture, pourquoi? Et bien parce que c’est Chattam voyons…
Il y a des auteurs avec lesquels je ne me pose aucune question.
Malgré que je connaisse très bien son œuvre, Mr Chattam a réussi à me surprendre, et c’est peu dire.
Voici un roman qui fait dans la noirceur, pure et dure, il m’a un peu fait penser au roman de Donad Ray Pollock « Le diable, tout le temps », même décor sombre ou il est difficile de trouver de la joie, et pourtant, une éclaircie parvient à percer les sombres nuages, c’est là qu’est le talent de l’auteur. Et voilà qu’en lisant enfin le résumé du livre, je découvre cette même référence à Donald Ray Pollock.
Mais je vous laisse découvrir par vous même où va apparaître cette embellie.
Une description d’une Amérique puritaine, où les langues sont mauvaises, elle plombent une réputation en un rien de temps, alors il vaut mieux se taire, pour ne pas salir l’honneur de la famille…
Bon alors, oui, le sujet est douloureux, sensible, il fait mal, mais Maxime Chattam parvient à garder une pudeur dans la narration qui nous permet de garder espoir.
Un voyage au sein de la cruauté et de la bestialité, encore une fois, me dirait vous, et bien non, ce roman est totalement différent de ce que l’auteur nous a offert jusqu’à présent, même la couverture est subtile, subtil, voilà le mot que j’utiliserai pour définir cette histoire. De la subtilité dans l’horreur.
Que ta volonté soit faite est une grande réussite que je ne peux que conseiller, même à ceux qui pensent avoir fait le tour des romans de Maxime Chattam, car il peut encore nous surprendre, la preuve.
« Les enfants de toute l’Amérique avaient le Croquemitaine pour se raconter des histoires qui font peur, à Carson Mills, ils avaient Jon Petersen. »
Pour son vingtième roman, Maxime Chattam dresse le portrait d’une petite ville du Midwest américain des années 60 jusqu’au début des années 80, avec pour fil rouge l’évolution de Jon Petersen – pervers psychopathe – de son enfance jusqu’au point culminant de sa sinistre carrière criminelle.
Un roman noir à l’écriture et à l’atmosphère uniques dans la carrière de l’auteur, où tout converge vers un final aussi étonnant qu’imprévisible. Que ta volonté soit faite est non seulement un voyage à Carson Mills, mais aussi dans ce qui constitue l’essence même du roman policier, la vérité et le crime. Nourri de ses lectures de Stephen King, Maxime Chattam s’inscrit ici dans la filiation de Jim Thompson et de D.R. Pollock dont Le diable tout le temps ne laissait pas indemne.
Celui ci me tente trop!!!!Je veux etre surprise!;)
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Alors lances toi, impossible de le lâcher…
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je vais m’y mettre dans peu de temps, je pense!!!!;)….
Mon blog c’est « fairystelphique », j’ai vu que tu as demandé l’accès a l’autre, mais il n’existe plus….
a bientôt! 😉
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Oui je viens de te trouver sur Babelio, ravie de te suivre, à bientôt. Ma lecture du moment After saison 2, un peu d’amour…
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oui , dans ce monde de brutes………;)
bonne lecture!
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J’ai « la trilogie du mal » dans ma PAL, qui m’attend sagement. Je n’ai jamais lu de Chattam, et ta chronique me dit que je perds quelque chose… va falloir que je me motive.
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Oui, j’aime beaucoup Chattam, mais il est vrai que pour la trilogie du mal, je ne l’ai pas lu à la suite, trop besoin de s’aérer un peu après chaque roman. Mais n’hésite pas.
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Il a aussi dans un tout autre genre écrit la saga Autre monde, adaptée pour le jeune public, j’aime beaucoup aussi.
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Je prends note. 🙂
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Je n’en suis encore qu’à la conjuration primitive lol
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Rien ne presse 😉
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hein qu’il est étonnant ce bouquin ! 😉 Je crois même que j’ai rarement été aussi étonné par un auteur
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Oui c’est exactement ça, si j’avais lu ce roman sans en connaître l’auteur, je ne pense pas que j’aurai trouvé que Mr Chattam était derrière cette histoire.
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